Diapason
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- Catégorie : Symphonie du Jaguar
Février 2010
Cuivres extatiques, gongs lointains, voix chuchotantes ou fantomatiques dessinent un espace sans limite où l’on se perd volontiers : la cérémonie vous emporte, dans ses métriques chaloupées comme dans de lentes processions.
Symphonie du Jaguar démontre l’habilité du compositeur à puiser l’inspiration aux quatre coins du monde tout en préservant le ciment de son langage. (...) Maître de l’ordre et du chaos, il a écrit son Sacré du printemps.
Shenzhen Daily
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- Catégorie : Garden of the Sage
Décembre 2009
An inspirational concert will bring together Chen Leiji, China’s best guqin player with Ensemble Variances, a modern chamber music orchestra from France.
Diapason
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- Catégorie : Symphonie du Jaguar
Avril 2009
De fait, il témoigne de sidérantes capacités à se renouveler, se nourrir d'univers différents tout en préservant le ciment de son propre langage.
Le Monde
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- Catégorie : Symphonie du Jaguar
Février 2009
La Symphonique du Jaguar, luxuriante partition de Thierry Pécou, avec ses échanges d'énergie cosmique entre un groupe de solistes et un orchestre.
NZ Herald News
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- Catégorie : L'Oiseau innumérable
Août 2008
When fevers fade in the work's third movement, he and the fine musicians of the Ensemble Orchestral de Paris, under the able Andrea Quinn, create spooky and surreal atmospheres...
Fonoforum
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- Catégorie : L'Oiseau innumérable
2008
'L'Oiseau innumérable' beeindruckt in mehrfacher Hinsicht: Die Tonprache wirkt unmittelbar eingängig, ohne sich beim Hörer anzubiedern. Und es gelingt dem Komponisten, das viersätzige Formschema mit völlig neuen Inhalten zu füllen. So präsentiert sich der zweite Satz als martialische Toccata, die vom Pianisten ganz allein bestritten wird, bevor sich das Orchester kurz vor Schluss mit einer einzigen rauschenden Kaskade zu Wort meldet.
Tharaud wird mit seiner Interpretation – rhythmisch bestechend und farblich genauestens austariert– der Musik Pécous viele Freunde gewinnen.
Diapason
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- Catégorie : Outre-mémoire
2004
La sombre beauté d’Outre-mémoire vient autant des allusions au fonds musical afro-cubain que de la narration distanciée du compositeur.
Pécou invente son propre rite, aussi puissant par sa violence organique que par l’amertume mélodique dont il parsème l’ouvrage.