12 novembre 2015

Les Machines désirantes was the most challenging work on the program for the listener as well, its frequent angular spikiness pressing the emotional edge, its screamy climax at the end followed by a brief, quieter final phrase.

Mai 2015

Les souvenirs d’un monde perdu (...)
Intime, triste ou joyeux (...)
Il y a mille trésors dans ce concert intimiste, poétique, plein de couleurs, d’émotions et de belles images.

Novembre 2013

Outre-mémoire est une œuvre forte, dramatique mais sans pathos, sans violence extérieure prégnante. (...)
La notion de mémoire qui me touche beaucoup, et là, de même, sans revendication particulière, juste comme une évocation. (...)

12 juin 2013

Watunna, récit de la création
Soixante-dix enfants de quatre classes de Metz-Borny seront sur scène demain soir à l’Arsenal.
Loin des violons d’une naissance harmonieuse, Thierry Pécou distille dans sa partition des onomatopées, des bruits, des tapements de pieds, des envolées sonores, dynamiques, enthousiastes.

5 avril 2013

Une première pièce de Lisa Bielawa ouvre la soirée, Gargoyles pour flûte solo. Magnifié par Anne Cartel, le pouvoir incantatoire de l’instrument impose d’emblée une certaine concentration de l’écoute...
En première mondiale Cri selon cri qui prête son titre à la soirée. D’abord feutré dans une couleur qui rappelle l’alto, le violon de Liana Gourdjia fait évoluer les glissandos d’harmoniques vers un lyrisme clairement « vibratile »...

9 février 2013

Watunna
Thierry Pécou, artiste en résidence à l’Arsenal, a présenté un conte musical à trois classes de Borny. Un échange sur le métier de compositeur s’est déroulé avec les élèves.

17 novembre 2012

Mais ce qui captiva plus encore l’auditoire, fut, in fine, la Vox balaenae du compositeur américain Georges Crumb [...]

Octobre 2012

Irrésistiblement tonique, colorée et bien sonnante, la Musique de Thierry Pécou est un rayon de soleil dans le paysage austère de la création musicale française. (...)
Là encore la complicité des musiciens de Variances fait merveille. (...)

Septembre 2012

(...) on se précipite chez son disquaire préféré pour l’acheter et le déguster seul à seul avant d’en partager avec ses amis les plus proches le plaisir ressenti. (...)
Un disque habité !