Au Mexique, la fête n’est pas forcement un moment joyeux. Il y a parfois de l’inquiétude, même dans les carnavals. La mort est très souvent présente. La transgression révèle des choses existentielles chez les gens.

Guided by these new inspirations, Pécou reworked Garden of the Sage in order to pay homage to ancient China, turning it into an experimental blend of modern classical, Guqin-driven traditional Chinese, avant garde experimentalism and multimedia video.

Thierry Pécou’s Garden of the Sage is particularly apt for Le French May.
Garden of the Sage - it sounds like an idyllic spot of timeless mystery that transcends the dualities of our everyday existence.

Pécou suit l’intrigue en disposant des mèches ça et là et attend la fin pour mettre le feu aux poudres. Son orchestre traduit idéalement les variations de climat et puise dans une large palette esthétique - de Milhaud et Stravinsky à Piazzolla ou Ligeti - des couleurs toujours appropriées au décor.

Le contraire de la musique de Thierry Pécou, d’une habileté et d’un sens théâtral confondants. Maître du mouvement perpétuel et de l’ostinato rythmique, il orchestre avec vivacité et finesse de touche, intégrant la structure de l’opéra classique à un langage moderne sans faire du « à la manière de ».

Not that you’d guess that when quaking at the dissonant brass chords. It does all make sense though, and the moments where Pécou relaxes are arresting.

Composer n’est pas un acte neutre mais empreint d’une manière de recevoir ce qui se passe autour de soi, d’être traversé par certains questionnements.

Thierry Pécou donne son approche du cosmos à travers une lunette précolombienne.

Qu’elle soit chamarrée ou tellurique, éthérée ou opulente, la musique de cet orpailleur du Globe est un appel, lancé vers l’auditeur et le Cosmos, semblant inciter l’homme à se souvenir de ses racines et de la Nature qui l’entoure.