La Terrasse

Novembre 2013

Outre-mémoire est une œuvre forte, dramatique mais sans pathos, sans violence extérieure prégnante. (...)
La notion de mémoire qui me touche beaucoup, et là, de même, sans revendication particulière, juste comme une évocation. (...)

Diapason

2004

La sombre beauté d’Outre-mémoire vient autant des allusions au fonds musical afro-cubain que de la narration distanciée du compositeur.
Pécou invente son propre rite, aussi puissant par sa violence organique que par l’amertume mélodique dont il parsème l’ouvrage.

BBC Music Magazine

2017

But the main goal of Outre-mémoire is probably to make one feel the ‘démesure’, or the enormous, industrial size of the slave trade...

Frankfurter Allgemeine Zeitung

3 mai 2019

Outre-mémoire (…) reflète musicalement la traite négrière… Le concert débute avant même que les musiciens de l’Ensemble Variances ne se soient positionnés sur scène. Ils s'approprient l'espace en se déplaçant, les sons viennent de partout… c’est toujours le rythme qui constitue la plus grande force motrice.

Mannheimer Morgen

10 avril 2019

Le son de la traite négrière. La façon dont le compositeur se réfère à la musique caribéenne et au jazz - pas simplement en le citant, mais en restant toujours fidèle à Thierry Pécou - fait d’Outre-mémoire une pièce fascinante !

Rhein Neckar Zeitung

8 avril 2019

Outre-mémoire est une pièce intensément émouvante et interprétée par d'incroyables musiciens !

The Guardian

24 avril 2018

Outre-mémoire est ainsi une œuvre profondément personnelle et pourtant universelle, car elle évoque des questions fondamentales et toujours d’actualité sur la richesse et la pauvreté, l’exploitation et l’oppression... Sa dimension de rituel renforce l’aura du concert.